Norvégien
Informations
Idéal pour ceux qui aiment la nature, ce chat des bois, grand chasseur, préfère vivre à l’air libre, même s’il s’adapte bien à la vie à la maison ; comme il adore grimper et dominer d’en haut, les bibelots précieux, les vases et le contenu des étagères de bibliothèque courent avec lui de sérieux risques. Sa maison idéale comprend un jardin, ou au moins une grande terrasse, où il pourra se défouler dans ses jeux de chasseur.
Caractéristiques physique du Norvégien
Le chat Norvégien est un chat solide et grand, qui donne une impression de force et de puissance, avec une ossature lourde et une musculature robuste. La tête est longue et triangulaire, avec un nez droit, sans stop. Le front est plat.. Les couleurs de la robe sont toutes reconnues, même les taches blanches dans toutes les variétés ; les seules non admises sont celles qui marquent d’évidentes hybridations avec d’autres races, comme par exemple la coloration des extrémités ou colourpoint, typique des Siamois.
Origines et histoire
C’est dans les forêts qui couvrent la Norvège que ce noble félin a pris son véritable nom, Norsk Skogatt, c’est-à-dire chat des forêts du Nord. Il appartient au groupe des races les plus anciennes, même si le premier document écrit à propos d’un chat ressemblant beaucoup à celui-là ne remonte qu’à la fin du XVIIe siècle.
Conditions de vie
Malgré la robe fournie et la richesse du sous-poil, le toilettage du chat Norvégien ne présente aucune difficulté car son poil, très lisse, ne fait pas de noeuds. Le fort esprit d’indépendance de ce chat s’avère pleinement chez les femelles au moment de la mise bas et durant la première période du sevrage, car elles refusent énergiquement toute intervention, même celle bien intentionnée de leur maître. Comme elles sont parfaitement en mesure de se débrouiller seules, mieux vaut ne pas intervenir.
Caractère et aptitudes
Très autonome par rapport à l’homme, il est toutefois prêt à établir un bon rapport avec son maître, si celui-ci respecte ses exigences et ses manières impérieuses, en somme à condition qu’on lui permette de conserver son indépendance.